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Les spectacles

 

 

Borderline

Spectacle 2016

"Construit comme une exposition, le sujet du spectacle : c’est toujours une femme, seule ou bien à deux, dans des situations diverses. Toutes ces femmes sont en réalité LES FEMMES elles-mêmes. On peut toutefois se poser une question : Frida sculpte certes différents personnages, mais chacune de ces femmes n’est-elle pas un peu Frida de St Phalle elle-même à un moment de sa vie ? On retrouve ainsi tour à tour parmi ses sculptures une femme en train de méditer, ou de lutter contre les aléas de la vie, de faire le bilan de sa vie ou de s’imaginer dans quelques années… 
Cependant, attention : souvent le visage de ses sculptures n’est pas identifiable et quand il l’est, son expression est neutre. Par ce choix, Frida de St Phalle insiste sur le côté « artificiel » de ses sculptures. Même si elle sculpte ces femmes, ce ne sont pas des autoportraits mais des stéréotypes, des « clichés » de femmes inspirés par le cinéma des années 1950 et 1960 qu’elle s’approprie pour mieux les comprendre. 
En créant ces sculptures, Frida de St Phalle révèle le côté à la fois réaliste et « borderline » de ces personnages féminins. Ce ne sont donc pas des sculptures qui racontent une histoire, mais qui commentent des histoires déjà existantes."

J'ai toujours rêvé d'être un danseur

Spectacle  2012.​

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Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve…Antoine de Saint Exupéry.
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..."Dans la vie il y a toute sorte de gens,  il y a ceux qui rêvent de posséder la  plus grande défense de sanglier, d’autres de faire le tour du monde en vélo, ah oui il y a aussi celles qui rêvent d’embrasser Johnny Depp et puis, il y a ces gens là, qui eux, ont un rêve commun, celui d’être un jour danseur.  

 

A travers des héros ordinaires : femmes de ménage, serveurs de bar, écoliers, ados en mal de reconnaissance  et rythmé par  le lancinant « Let’s dance » de David Bowie, le spectacle évolue laissant apparaitre la danse là où on l’attend le moins.  
 

Nous souhaitions mettre en l’accent sur le fait qu’il est donné à tout  le monde la possibilité de danser, que tout le monde sait danser, à partir du moment où l’émotion à partager et à laisser éclater est authentique.

Le Bal est à nous

Spectacle  2011.​

Un air de « Volver » de Carlos Gardel résonne encore…

Un désir de mettre en scène les bals, lieux de rencontres. De rencontres de toute sorte, qu’elles soient intergénérationnelles, amicales ou amoureuses, des lieux d’échanges et de partage par le biais de la danse.  

 

La création de ce spectacle est le fruit d’un travail collectif dans lequel les élèves ont pu exprimer leur représentation du bal, ce qui s’y passe, ce qui s’y joue, l’atmosphère qui s’en dégage, la préparation.  
 

Il nous semblait  important, vu les  temps actuels, de mettre en lumière ces lieux de vie afin qu’ils ne disparaissent pas dans l’ombre.

Liberté en chantier

Spectacle  2010.​

L’entreprise Conte Goutte vient de décrocher un contrat avec Mme  Tatouille pour la création d’un conte pour enfant nommé : Liberté.

L’histoire se construit,  le temps du spectacle, ponctuée par les interventions de l’équipe : technicien, costumière, décorateur, chorégraphe…  

 

On découvre ainsi l’histoire d’une marionnette danseuse éprise de liberté et qui tente de sortir des griffes de son marionnettiste.

 

Création inspirée d’un roman jeunesse « La petite fille de bois tendre », Prix Incorruptibles.


Nous avons choisi de travailler pendant les ateliers hebdomadaires sur l’émancipation de l’individu face à l’acquisition d’une technique  telle que la danse contemporaine  ou bien le théâtre. Nous souhaitions l’amener à découvrir et à partir, tels des explorateurs, sur les chemins de sa propre danse,  de son propre langage corporel. De se sentir libre, délivré.

Le Carnaval des maux

Spectacle  2009.​

Journée Portes Ouvertes au centre Alma Expres’soin !!!.  
 

Accompagné du professeur Terre Happy  à la renommée nationale (diplômé à la faculté de Paris en Expression Corporelle, à Strasbourg  en Magie Intérieure et enfin à celle de Perpignan en Danse du Rire) et de ses atypiques assistantes, le spectateur participe à des ateliers chorégraphiques ainsi qu’à des séances de travail avec les patients. Au gré des tableaux, emporté par les titres : Gai rire l’Heureux m’aide, Habité par l’Etre Ange, Dans tout être une mère veille…, on découvre sa pédagogie, sa démarche, son travail : Danser les mots pour panser les maux. Puis la magie opère …Croire en la magie sienne.  
 

Cette création est née de rencontres avec des docteurs- chorégraphes, peintres,  qui ont le don de libérer les maux, par la parole, la danse, la peinture. Nous souhaitions par le biais de cette pièce, transmettre et partager la force des mots et l’impact qu’ils peuvent avoir sur les maux de chacun, mais surtout l’importance de les exprimer, de les libérer.  
 

Une partie des bénéfices des deux spectacles a été versée à l’association « Clown’s Hôpitaux ».

Partir, pourquoi ?

Spectacle  2008.​

 

Titre évocateur pour un spectacle dans lequel  le spectateur est partie intégrante du voyage. Carte d'embarquement à la main, ceinture bouclée. Le décor est planté, tout y est : l’embarquement, le décollage, les secousses, les hôtesses, un pilote d’avion loufoque, …


Se pose alors la question de la signification du voyage pour chacun d’entre nous.  

 

Partir c’est : s’ouvrir, mourir, s’enrichir, du plaisir, fuir, s’épanouir, découvrir, construire, se réjouir, par désir…  
 

Les bénéfices du spectacle ont été attribués aux  associations : « Le rêve de Maêva » et 
« Clown’s Hôpitaux ».

 

Corps et âmes

Spectacle  2007.​

 

Premier opus de l'association, une dizaine d'enfants et environ le même nombre d'adultes sur le plateau...

Frileusement des corps et des individus qui se dévoilent au grand public. Avec comme musique qui résonne

encore: « Le jour se lève » de Grand Corps Malade:
 
Le jour se lève sur notre envie de vous faire comprendre à tous que c'est à notre tour

D'assumer nos rêves, d'en récolter la sève pour les graver dans chaque mur de pierre

Le jour se lève et même si ça brûle les yeux, on ouvrira grand nos paupières

Il a fait nuit trop longtemps et avancer sans lumière nous a souvent fait tâtonner

Personne à pardonner, si on est là aujourd'hui, c'est juste qu'on n'a pas abandonné

On a cherché la lueur de l'aube en sachant qu'elle avait la couleur de l'espoir

On s'est armé de nos stylos pour écrire nous-mêmes la suite de toute cette histoire
 

Notre passion va nous nourrir et je vais retrouver le sourire dans le regard de tous les miens
 

Notre futur est incertain, c'est vrai que ces deux mots-là vont toujours de pair

Mais notre jour s'est bien levé, dorénavant il sera difficile de nous faire taire...

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